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Chaque mois, la Rédaction publie des informations en accès libre.
2008 : 1 | 30 | 60 | 90 | 120 | 150 | 180 | 210 | 240
Pas de traitement par diphosphonate indéfiniment.
1er mai 2008
Peu de risques prouvés, mais des incertitudes persistent
La trimétazidine a une balance bénéfices-risques défavorable. Contrairement à l'information destinée aux soignants, la notice n'informe pas les patients de la nécessité de réexaminer l'intérêt de sa prescription, après trois mois de traitement.
Des médicaments différents rassemblés sous un même nom : les gammes "ombrelles" ravalent le médicament au rang de produit de grande consommation et le patient au rang de consommateur ignorant ce qu'il consomme.
Les firmes pharmaceutiques utilisent diverses stratégies pour limiter la concurrence des médicaments génériques, dont le remplacement d’un médicament par son "isomère" actif.
Certains médicaments sont annoncés en "libre accès" aux patients dans les officines. Mais où les patients trouveront-ils les informations fiables leur permettant de choisir à bon escient ?
Praxinor° n’est plus remboursable du fait d’un service médical rendu insuffisant. Il reste commercialisé malgré le risque d’effets indésirables graves auquel il expose.
Les résultats des essais cliniques ne montrent pas de bénéfice à prolonger le repos au lit des patients après un infarctus du myocarde non compliqué.
Le traitement par diphosphonates des femmes ménopausées qui ont une ostéoporose sévère est modestement efficace durant les 5 premières années, au prix d’effets indésirables parfois graves. Au-delà de cette période, le bénéfice est mince en regard des effets indésirables.
Une exposition chronique à de faibles doses de mercure ne présente pas de risque sanitaire important prouvé. La tendance est cependant à progressivement limiter l’usage des amalgames, par précaution.
L'ouvrage "Médecine, santé et prison" est une source d’informations importante sur les principes et les difficultés de la médecine pénitentiaire.
Certains médicaments sont à l’origine d’effets indésirables cutanés parfois graves, voire mortels. Savoir les reconnaître permet de déclencher une hospitalisation d’urgence et une prise en charge en unité de soins intensifs.
En France, l'Inspection générale des affaires sociales a pris clairement position contre les programmes d'observance des firmes.
Début 2008, le maintien ou non sur le marché de cette association à risques, est entre les mains des instances européennes.
15 avril 2008
En pratique, viser un HbA1c autour de 7 %.
En pratique, quand un médicament paraît souhaitable pour le sevrage tabagique, mieux vaut en rester à la nicotine.
Les générateurs d'aérosols sont des dispositifs médicaux, couramment utilisés dans le traitement d'affections des voies respiratoires, notamment l'asthme, la mucoviscidose, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
1er avril 2008
Une enquête d'une caisse d'assurance maladie a montré qu'en France un grand nombre d'enfants sont exposés à des risques graves pour traiter des affections bénignes.
Ni seule, ni associée.
Les recommandations sont, par définition, des propositions, et jamais des obligations dotées d'un caractère absolu.
Depuis le numéro 1 de janvier 1981, le monde a beaucoup changé. 27 ans de labeur ont considérablement fait mûrir les esprits et la société.
Une consultation de la Commission européenne relative à l'"information patient" en Europe, clairement au service des ventes de médicaments, mais pas des patients.
Partage d'expériences entre soignants en exercice et en formation de différentes disciplines et de différents pays, et usagers. Et une occasion de contact direct avec l'équipe Prescrire.
Les notifications d'effets indésirables digestifs, neuropsychiatriques et cardiovasculaires de la varéniciline s’accumulent.
Les recommandations médicales sont bénéfiques quand elles corrigent des comportements non optimaux des médecins. Mais il ne faudrait pas qu'elles déresponsabilisent les médecins dans la recherche des soins les mieux adaptés à chaque patient.
Les essais cliniques se multiplient dans les pays du Sud et de l'Est, pour des raisons économiques. Ces économies sont parfois difficilement compatibles avec l’éthique des essais.
Le "trou" de la Sécurité sociale motive toutes les remises en causes ces dernières années des droits au remboursement. Un auteur remet en cause l'ampleur de ce "trou".
Les glitazones (Avandia°, Actos° ou autres) n’apportent aucun bénéfice pour les patients diabétiques mais un surcroît d’effets indésirables, parfois très graves.
Lorsqu’un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien est jugé nécessaire, mieux vaut en choisir un dont la balance bénéfices-risques est favorable, tel que l’ibuprofène.
Chez les enfants, certains cosmétiques et certains médicaments, utilisés pour des troubles bénins, exposent à des effets indésirables parfois graves.