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Chaque mois, la Rédaction publie des informations en accès libre.
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Selon une enquête, en France, de nombreuses femmes enceintes s'automédiquent. Beaucoup d'entre elles ignorent que des médicaments usuels sont dangereux pour le fœtus, tels que l'ibuprofène, l'aspirine ou le bromazépam.
1er novembre 2008
Il est de plus en plus urgent que les autorités "de tutelle" qui allouent les ressources collectives fassent le travail pour lequel citoyens et assurés les payent : sans céder aux pressions industrielles.
Un objectif d'amélioration des pratiques professionnelles Prescrire.
Il est temps de faire évoluer le système de santé vers des rémunérations des soignants qui favorisent la qualité, au lieu de favoriser le nombre d'actes et les activités les plus lucratives.
Le prix de certains médicaments est sans commune mesure avec leur intérêt thérapeutique. Une situation peu propice à encourager les vrais progrès, et dispendieuse en ressources publiques.
Pour une automédication bénéfique, le patient doit avoir un minimum de connaissances sur l'évolution et la gravité de son trouble et sur l’intérêt respectif des traitements disponibles.
L'inconfort et la douleur de certains gestes de soin pratiqués chez les nouveau-nés peuvent être mieux prévenus.
Le système d'incitation à la recherche de nouveaux médicaments, basé sur le marché et les brevets, montre ses limites, notamment pour les besoins des plus pauvres. D'autres systèmes sont possibles.
Malgré une absence de bénéfice clinique pour les patients diabétiques et des effets indésirables parfois graves, la pioglitazone (Actos°) est toujours sur le marché, en outre au prix fort.
La trimétazidine (Vastarel° ou autre) est toujours commercialisée dans divers troubles, sans efficacité tangible démontrée et malgré des effets indésirables neurologiques parfois graves.
De nombreuses femmes enceintes s’automédiquent, mais peu d’entre elles connaissent les dangers des médicaments usuels pour l’enfant à naître.
Quand un médicament paraît souhaitable pour le sevrage tabagique, la nicotine est le médicament ayant la meilleure balance bénéfices-risques.
"Éviter toute prise d’anti-inflammatoire non stéroïdien durant la grossesse" a été l’objectif d’amélioration des pratiques professionnelles le plus choisi par les abonnés de Prescrire.
Pour soulager les maux de gorge, aucun médicament dit d’action locale n’apporte un bénéfice tangible par rapport à une confiserie à sucer.
Aides mécaniques, paracétamol, application cutanée d’un anti-inflammatoire non stéroïdien en quantité modérée, voire ibuprofène oral, aident à soulager ponctuellement les douleurs articulaires liées à l’arthrose.
15 octobre 2008
Le pergolide n'apporte pas de progrès thérapeutique et de nombreuses autres solutions sont disponibles. Autant s'en passer.
Paracétamol : la meilleure balance bénéfices-risques des antalgiques.
Les recommandations du Comité technique des vaccinations peuvent être abrégées pour figurer dans les publicités pour les vaccins diffusées à la télévision ou à la radio. Une adaptation de la réglementation en faveur des firmes, désireuses de faire toujour
L'imprégnation des patients par les médicaments psychotropes n’a pas de cesse, entre autres sous l’influence de firmes pharmaceutiques.
Après plusieurs mois d'atermoiements (ajout de nouvelles contre-indications, puis de nouvelles mises en garde et mesures de surveillance) la balance bénéfices-risques a été reconnue comme défavorable dans le traitement des patients obèses ou en surpoids a
Syndrome polyalgique idiopathique diffus, alias fibromyalgie : une affection mal cernée et des traitements décevants.
1er octobre 2008
Troubles neuropsychiatriques, hypertensions artérielles pulmonaires et valvulopathies cardiaques.
Le Prix Prescrire récompense depuis 1989 des ouvrages ou documents particulièrement utiles et fiables.
L'introduction en France d'"actions de groupes" (recours collectifs), comme il en existe déjà dans d'autres pays, changerait nettement le rapport de force entre les victimes de médicaments et les firmes.
Chez des adultes victimes d’arrêt cardiorespiratoire, une meilleure survie sans séquelle neurologique en cas de mise en œuvre des gestes de survie avant l’arrivée d’une unité mobile de réanimation.
Les soignants et les patients ont droit à une information santé qui soit adaptée à leurs besoins, fiable, comparative, à jour, sans conflits d'intérêts.
Des firmes pharmaceutiques n'ont de cesse de vouloir médicamenter l'existence avec des psychotropes. Soignants et patients doivent s'y opposer.
Il est regrettable que les publicités pour des vaccins contiennent des messages sanitaires abrégés dans leurs supports les plus efficaces, télé et radio.
Les plaintes de patients victimes d'effets indésirables sont instruites une par une en France, contrairement à d'autres pays où les victimes se regroupent dans des recours collectifs.