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Chaque mois, la Rédaction publie des informations en accès libre.
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Les patients comptent sur les associations pour faire entendre leurs voix, et peser dans les débats en défendant leurs intérêts, et non ceux des firmes.
1er septembre 2011
Selon une synthèse d’études comparatives, des exercices physiques soutenus réduisent sur le long terme l’incapacité au travail des patients lombalgiques chroniques.
Chez les patients âgés atteints de démence, la balance bénéfices-risques des neuroleptiques "classiques" et "atypiques" est défavorable au long cours.
Mieux vaut retirer du marché les médicaments par voir orale ou nasale à visée décongestionnante, compte tenu de leurs effets indésirables cardiovasculaires parfois graves.
Cette association d’une benzodiazépine et de neuroleptiques "cachés" a été retirée du marché. Une occasion de revoir la pertinence de ce type de traitement et de rappeler que la réponse aux plaintes d’insomnie n’est pas forcément médicamenteuse.
Une fiche d'information à partager avec les patients : Le dosage du PSA est souvent proposé pour dépister les cancers de la prostate. Avant d’accepter ou de refuser ce dépistage, mieux vaut en connaître les bénéfices espérés et les effets indésirables.
Chez les patients migraineux chroniques, les essais cliniques disponibles ne démontrent pas d’efficacité tangible contre les maux de tête de la toxine botulique de type A. Compte tenu par ailleurs des effets indésirables graves de ce médicament, mieux vaut se concentrer sur le traitement préventif par voie orale et la lutte éventuelle contre un usage abusif des antalgiques.
Un programme de formation permanente dont l'efficacité est prouvée, pour renforcer la mémorisation des connaissances utiles pour la pratique des professionnels de santé. À partir de cette session 2011-2012, le Test de Lecture Prescrire se fait au choix sous forme papier ou en ligne sur le site Prescrire.
Le projet de loi comporte des avancées surtout en termes de transparence et de gestion des conflits d'intérêts par les agences. Mais plusieurs points importants sont absents, notamment le renforcement de la pharmacovigilance locale et la démonstration d'un progrès thérapeutique pour obtenir l'autorisation de mise sur le marché ou un remboursement.
1er août 2011
Prescrire publie un numéro spécial sur les affections courantes.
Face à un trouble de santé, il est toujours utile de chercher les éléments qui orientent vers une cause médicamenteuse.
Connaître l'évolution sans traitement d'une maladie aide à évaluer si un traitement est utile et si sa balance bénéfices-risques est favorable.
Les patients ont tout intérêt à participer à la notification des effets indésirables des médicaments, et les soignants à les écouter, pour améliorer les connaissances.
Le conditionnement d'un médicament (ensemble de la boîte, du dispositif doseur, de la notice, etc.) pèse dans sa balance bénéfices-risques.
Une fiche d'information à partager avec les patients : Après un rapport sexuel non protégé, la contraception d’urgence diminue fortement le risque de grossesse.
Les pharmaciens sont tenus de respecter des règles strictes pour renouveler la dispensation des médicaments. Cela n'interdit pas une certaine flexibilité, dans l'intérêt du patient.
Seuls les médicaments font l'objet d'une autorisation préalable à leur mise sur le marché.
Certaines précautions permettent d'éviter les erreurs liées aux dispositifs doseurs de médicaments par voie orale.
Un changement majeur pour la session 2011-2012 : les participants au Test de Lecture mensuel Prescrire ont le choix de répondre en ligne aux questionnaires sur le portail formations.prescrire.org. Avantages : des corrigés plus rapidement disponibles, avec des liens directs vers les textes-sources des questionnaires.
Faites part des actions que vous avez entreprises, ou que vous avez imaginées, sous la forme de texte, poème, fiche, affiche, dessin, bande dessinée, photographie, etc., sur le thème de l'"Information des patients par les soignants". Date limite des retours : 1er septembre 2011.
08 juillet 2011
L'Agence européenne du médicament (EMA) a refusé de transmettre à Prescrire les données détaillées qu'elle détient sur le risque de cancer de la vessie de la pioglitazone (Actos°).
06 juillet 2011
Dans sa réponse à la consultation publique de l'Agence européenne du médicament (EMA), Prescrire propose de repenser l’encadrement de l’automédication et de la praticité des médicaments, en allant au-delà de cette consultation visant l’arrangement avec les firmes.
04 juillet 2011
Les responsables politiques ont aujourd’hui la responsabilité de ne pas décevoir l’espoir qu’ils ont alimenté. Mieux, ils ont une opportunité historique pour conduire un changement de cap dans la politique du médicament, en France et en Europe, au bénéfice premier des patients.
30 juin 2011
En fin de vie, le traitement des douleurs est important pour maintenir au mieux une certaine qualité de vie.
1er juillet 2011
Mépronizine°, une association de méprobamate et d’acéprométazine, est à éviter, en attendant son retrait du marché.
La spiramycine en forme buvable pédiatrique (Rovamycine°) n’est plus commercialisée en France. Les autres antibiotiques de la même famille exposent à des risques d'interactions médicamenteuses plus importants.
Les infections génitales par Chlamydia trachomatis font partie des infections sexuellement transmissibles à rechercher en cas de comportements sexuels à risque.
La consommation de cannabis au cours de la grossesse est associée à peu de conséquences démontrées : syndrome de sevrage à la naissance, et doute quant aux conséquences à long terme, notamment de cancers. L'arrêt ou la diminution du cannabis ne doit pas s'accompagner du recours à d'autres substances encore plus nocives telles que l'alcool ou d’autres psychotropes.
Les publicités pharmaceutiques visant les soignants sont un facteur majeur de mauvaise utilisation des médicaments. Elles ne sont pas suffisamment contrôlées en France.
Soignants et patients ont intérêt à ce que les nouveaux médicaments soient comparés aux médicaments déjà disponibles, avant d’obtenir une autorisation de mise sur le marché. Pourtant, l’agence européenne du médicament (EMA) propose de privilégier les essais cliniques contre placebo.