Chez les patients atteints d'un carcinome urothélial (le plus souvent un cancer de la vessie) inopérable, avec extension régionale ou des métastases, le traitement de premier choix est généralement une chimiothérapie cytotoxique contenant un sel de platine en association avec un autre cytotoxique tel que la gemcitabine, suivi d'un traitement dit d'entretien par avélumab(un immunostimulant anti-PD-L1) en l'absence d'aggravation du cancer après la chimiothérapie (1à3). Quand le cancer s'est aggravé malgré une chimiothérapie contenant un sel de platine, le pembrolizumab(un immunostimulant anti-PD-1) en monothérapie a allongé la durée médiane de survie de 3 mois dans un essai versus une chimiothérapie (1,2)
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