Une option, en prenant en compte les risques graves, voire mortelsChez les patients atteints d'un carcinome urothélial (le plus souvent un cancer de la vessie) avec extension régionale ou des métastases, le traitement de premier choix repose en général sur une chimiothérapie comportant un sel de platine. Quand le cancer ne s'aggrave pas après une telle chimiothérapie, l'avélumab (un anticorps immunostimulant dirigé contre la protéine PCD-L1) en traitement dit d'entretien allonge la durée de vie de quelques mois par rapport à des soins symptomatiques. Chez les patients dont le cancer s'aggrave malgré un sel de platine, le pembrolizumab (un anticorps immunostimulant dirigé contre le récepteur PCD-1) est une option car il a allongé la durée médiane de survie d'environ 3 mois dans un essai versus chimiothérapie (1à4)
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