Fin 2024, pas de diminution de la mortalité, voire une augmentation ?Dans l'Union européenne, le tirzépatide, un agoniste à la fois du GLP-1 et du GIP, est autorisé en injections sous-cutanées chez certains adultes atteints d'un diabète de type 2, et chez certains patients en situation de surpoids ou d'obésité. Dans ces situations, il n'est pas démontré, fin 2024, qu'il apporte un progrès clinique tangible par rapport à un agoniste du GLP-1 tel que le sémaglutide injectable ou le dulaglutide (1,2). En France, le tirzépatide est disponible en pharmacie d'officine, sans être pris en charge par la Sécurité sociale début décembre 2024
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