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Chaque mois, la Rédaction publie des informations en accès libre.
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La chimiothérapie et l'hormonothérapie après la chirurgie augmentent la survie.
15 décembre 2006
Comment s'assurer que les experts externes mandatés par l'Agence française des produits de santé (Afssaps) mettent leurs compétences au profit du service public, sans confusion avec les intérêts, notamment financiers, qu'ils peuvent avoir par ailleur
Les notifications d'effets indésirables par les patients au Centre de pharmacovigilance néerlandais ont concerné souvent des psychotropes, notamment des antidépresseurs.
Le gouvernement français tente de légaliser, de façon insidieuse, par voie d'ordonnance, des programmes d'"aide à l'observance" financés par les firmes pharmaceutiques, à l'occasion de la transposition en droit français de la Directive européenne 2004/27/
La médicalisation est loin d'être prioritaire.
1er décembre 2006
Si l'objectif est bien de permettre aux patients de faire des choix éclairés concernant leur santé, une distinction claire doit être faite entre information et publicité déguisée en "information".
Un effort de formation mois après mois qui mérite d'être largement reconnu.
Chaque année, la revue Prescrire actualise et enrichit son Guide "Eviter les effets indésirables par interactions médicamenteuses : comprendre et décider", un dispositif documentaire pour une prévention réfléchie.
L’Association Mieux Prescrire (AMP) a déposé une demande d’agrément auprès de la Haute Autorité de Santé (HAS) pour ses Programmes d’Amélioration des Pratiques Professionnelles mis, courant 2007, à la disposition des abonnés Prescrire. Elle fera de même a
Les abonnés à la revue Prescrire sont de plus en plus nombreux à participer au Test de Lecture Prescrire. Un effort de formation qui mérite d'être largement reconnu.
Au Pakistan comme en Indonésie, une grande partie des médicaments reçus après les catastrophes étaient totalement inutilisables, et ont dû être incinérés. Mieux vaut aider les pays à acheter les médicaments dont ils ont besoin.
L'impartialité des experts de l'agence française du médicament est impérative dans leur mission de service public.
Les citoyens ont besoin d'une information-santé leurs permettant de faire des choix responsables. Ils n'ont pas besoin des publicités des firmes déguisées en "information".
Chez des patients atteints de démence de type Alzheimer traités par anticholinestérasiques, l'apparition de troubles de la marche, de chutes ou de symptômes parkinsoniens est une occasion d'envisager l'arrêt du traitement, en raison de l'efficacité modeste et transitoire de ces médicaments.
Un traitement médicamenteux est parfois nécessaire en cas d'échec des mesures éducationnelles et diététiques, ou quand leur mise en œuvre s'avère difficile.
La baisse artificielle des seuils de "normalité" de la pression artérielle a été créée pour augmenter le nombre de personnes considérées "malades" ou "à risque", pour le seul bénéfice financier des firmes.
Définir des seuils de normalité pour estimer un risque ou décider d'une intervention thérapeutique n'a d'intérêt que si l'utilité de traiter à partir de ces seuils est bien prouvée.
Le diabète de type 2 augmente actuellement dans les pays riches chez les enfants et les adolescents, parallèlement au développement de l'obésité. Le traitement de cette maladie grave est mal évalué chez les enfants. La priorité est à la prévention.
Pas de kinésithérapie respiratoire de façon systématique.
15 novembre 2006
Un conflit d'intérêts trop lourd de conséquences : comment imaginer qu'une firme, juge et partie, soit en mesure d'expliquer à un patient qu'il devrait mieux arrêter son traitement, ou en changer pour prendre un traitement d'une firme concurrente ?
Un collyre antibiotique seulement pour les échecs du lavage oculaire.
D'abord analyser la plainte.
1er novembre 2006
Les patients ont un droit indéniable à l'information sur les maladies et les choix thérapeutiques. Mais les firmes pharmaceutiques ne sont pas en situation d'assurer correctement cette information.
En France, des patientes restent exposées aux effets indésirables nombreux et parfois graves du véralipride, un neuroleptique caché, qui n'a pourtant pas de place dans le traitement des "bouffées de chaleur".
Augmentin° alias Ciblor° alias amoxicilline + acide clavulanique (DCI).
Avec leurs "campagnes d'information sur les maladies", les firmes pharmaceutiques n'ont qu'un objectif : augmenter leurs ventes de médicaments. Quitte à exagérer la gravité des maladies, voire à en "inventer".
Firmes et pouvoirs publics s'allient parfois pour masquer une regrettable réalité : l'absence d'information comparative sur les nouveaux médicaments.
Des patientes restent exposées aux effets indésirables nombreux et parfois graves du véralipride, un médicament qui n'a pas sa place dans le traitement des "bouffées de chaleur".