Mi-janvier 2021, l'Agence française du médicament (ANSM) remet en question certaines utilisations de deux progestatifs, le nomégestrol (Lutényl° ou autre) et la chlormadinone (Lutéran° ou autre), en raison des risques de méningiomes. Ces deux progestatifs sont utilisés depuis longtemps dans diverses situations, dont : hormonothérapie substitutive de la ménopause, dysménorrhées, certaines hémorragies génitales y compris liées aux fibromyomes, syndrome prémenstruel, endométriose. Comme avec d'autres progestatifs dont la cyprotérone (Androcur° ou autre), le risque accru de méningiome est à prendre en compte lors de l'instauration du traitement et justifie une surveillance pendant le traitement, notamment par imagerie cérébrale... [Texte complet dans l'Application Prescrire]
©Prescrire 15 janvier 2021
Pour aller plus loin :
- "Chlormadinone ou nomégestrol : IRM en cas de signes cliniques de méningiome ou de traitement prolongé" (n° 440, page 424)
- "Progestatifs : méningiomes (suite)" (n° 422, page 911)
- "La ménopause" Infos-Patients Prescrire
- "Fibrome utérin avec saignements" Infos-Patients Prescrire
- "Troubles liés à la ménopause" Premiers Choix Prescrire
- "Contraception" Premiers Choix Prescrire
- "Endométriose douloureuse. En absence de projet de grossesse : paracétamol et AINS, voire estroprogestatif ou DIU au lévonorgestrel" (n° 433, pages 833-841)
- "Fibromyome utérin" Premiers Choix Prescrire
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