Chez les patients atteints d'un cancer de la prostate métastasé, quand le cancer s'aggrave malgré une dépression androgénique (cancer dit résistant à la castration) et qu'une chimiothérapie cytotoxique (avec un taxane notamment) ne paraît pas appropriée, une option utile est d'ajouter un antiandrogène stéroïdien (abiratérone) ou non stéroïdien (tel l'enzalutamide) à la dépression androgénique (1à3). Il n'a pas été démontré d'allongement de la durée de vie avec l'association de l'olaparib ou du niraparib (des cytotoxiques anti-PARP) et de l'abiratérone dans les essais cliniques, alors que ces associations exposent à un surcroît d'effets indésirables graves (1à3)
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