Chez les patients atteints d'un cancer du sein inopérable et qui ont déjà reçu une anthracycline et un taxane, et éventuellement une hormonothérapie, un autre cytotoxique en monothérapie est parfois envisagé, sans choix consensuel. La capécitabine, l'éribuline, la gemcitabine ou la vinorelbine font partie des options (lire aussi "Olaparib (Lynparza°) et certains cancers du sein inopérables avec mutation BRCA") (1)
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