En France, l'apomorphine (Apokinon°), un agoniste dopaminergique non dérivé de l'ergot de seigle, est autorisée par voie sous-cutanée (SC) chez certains adultes atteints de la maladie de Parkinson gênés par des fluctuations motrices liées à la dopathérapie (alias "phénomènes on-off", alternant des phases "off" de blocage des mouvements et de la parole, et des phases "on" d'amélioration) (1)
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