Réduire le placement en isolement : l'expérience de l'hôpital psychiatrique de Chinon

La cadre de santé sort ses clés et s'excuse : la porte du service est exceptionnellement fermée. C'est rare. « Ici, normalement, le service est ouvert. Les patients ont la liberté d'aller et venir, même les personnes hospitalisées sous contrainte. Ils nous disent "on va se balader une demi-heure", on sait qu'ils reviennent. » Mais un nouveau patient très agité vient d'arriver : par prudence, sorties et entrées se font cet après-midi-là sous le contrôle du personnel.

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