Utiliser un traitement à bon escient suppose que le prescripteur ait, entre autres, une appréciation correcte d'une part du risque de base, c'est-à-dire le risque lié à une situation clinique en l'absence de traitement, d'autre part de l'efficacité du traitement. Une enquête étatsunienne a montré que beaucoup de soignants ont des difficultés à évaluer ces éventualités pour un patient donné (1)
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