Ci-dessous, une sélection commentée des principaux textes de ce dossier.
Vaccin papillomavirus dès 11 ans, sans raison valable
Rev Prescrire 2013 ; 33 (362) : 928
Avancer l'âge de la vaccination des jeunes filles n'est pas fondé sur des données d'efficacité clinique solides. Les données d'évaluation de cette vaccination et leurs incertitudes restent inchangées
> Pdf, réservé aux abonnés
Prescrire en questions : vaccin papillomavirus : quelle efficacité, quels risques ?
Rev Prescrire 2013 ; 33 (357) : 552-556
Mi-2013, le pari de proposer cette vaccination aux jeunes femmes reste une option raisonnable. Les résultats en termes de cancers invasifs, voire de mortalité, ne seront pas disponibles avant plusieurs années
> Pdf, réservé aux abonnés
Neuropathies périphériques d'origine médicamenteuse
Rev Prescrire 2013 ; 33 (354) : 269-275
Pour les vaccins papillomavirus, des données récentes ne montrent pas plus de syndromes de Guillain-Barré chez les patientes vaccinées que dans la population générale
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus Cervarix° : autorisé aussi à partir de l'âge de 9 ans, comme Gardasil°
Rev Prescrire 2012 ; 32 (344) : 423
La promotion des moyens de prévention des maladies sexuellement transmissibles (préservatifs) et le dépistage du cancer du col de l'utérus par frottis cervico-utérin restent les mesures essentielles, y compris chez les jeunes filles ou les femmes vaccinées
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 - Gardasil°. Chez les hommes : évaluation clinique inachevée
Rev Prescrire 2012 ; 32 (342) : 251-252
Dans un essai chez 4 065 hommes âgés de 16 à 26 ans, le vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 a réduit la fréquence des condylomes acuminés anogénitaux ; mais, début 2012, une éventuelle efficacité préventive sur les cancers reste une hypothèse à tester
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus et grossesse : la situation début 2012
Rev Prescrire 2012 ; 32 (341) : 192-195
Les données disponibles début 2012 sur les grossesses exposées aux vaccins papillomavirus au cours du premier trimestre ne sont pas préoccupantes
> Pdf, réservé aux abonnés
Effets indésirables des vaccins papillomavirus : bilan 2011
Rev Prescrire 2012 ; 32 (341) : 194-195
Chez les femmes, au vu des données mondiales disponibles, les effets indésirables graves sont rares
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccins papillomavirus et "protection" croisée : sans intérêt clinique tangible
Rev Prescrire 2011 ; 31 (329) : 186
Les vaccins papillomavirus semblent efficaces sur les génotypes 31, en plus des génotypes vaccinaux 16 et 18, en termes de dysplasies de haut grade. Mais début 2011, l'efficacité en termes de prévention des cancers du col de l'utérus reste à démontrer. Même vaccinées, le dépistage des femmes reste de mise
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 après 26 ans - Gardasil°. Le dépistage des cancers du col reste la priorité
Rev Prescrire 2011 ; 31 (327) : 11
Pas de preuve d'efficacité tangible du vaccin après un suivi médian de 4 ans dans un nouvel essai chez 3 819 femmes âgées de 24 ans à 45 ans, mais toujours peu de risques
> Pdf, réservé aux abonnés
Effets indésirables des vaccins papillomavirus : bilan 2009
Rev Prescrire 2010 ; 30 (317) : 191
Comme en 2008, il n'est pas apparu d'effet indésirable grave inconnu
> Pdf, réservé aux abonnés
Dépister les cancers du col de l'utérus. Organiser le dépistage pour éviter des conisations inutiles
Rev Prescrire 2010 ; 30 (317) : 193-202
Un dépistage par frottis réguliers réduit très probablement la mortalité par cancer du col utérin. Colposcopie en cas de lésions de haut grade. Les effets indésirables sont surtout liés aux conisations
> Pdf, réservé aux abonnés
Histoire naturelle des cancers du col de l'utérus
Rev Prescrire 2010 ; 30 (317) : 195
> Pdf, réservé aux abonnés
Dépistage par la recherche de papillomavirus : trop de fausses alertes
Rev Prescrire 2010 ; 30 (317) : 200-201
> Pdf, réservé aux abonnés
Effets indésirables des vaccins papillomavirus : bilan 2008
Rev Prescrire 2009 ; 29 (306) : 269
Le bilan 2008 montre surtout des effets indésirables locaux, des syncopes et quelques réactions de type allergique, sans effet indésirable grave imprévu
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 - Gardasil°. Cancers du vagin : trop peu de données
Rev Prescrire 2009 ; 29 (306) : 246
Début 2009, un effet préventif du vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 sur les cancers du vagin n'est pas plus établi qu'en 2007. Ces cancers sont rares, et représentent un problème de santé publique bien moins important que les cancers du col de l'utérus
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin HPV 6, 11, 16, 18 : notifications 2007
Rev Prescrire 2008 ; 28 (293) : 186
Début 2008, le système australien de pharmacovigilance a publié son bilan de 496 effets indésirables notifiés en Australie au 27 novembre 2007 pour le vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 (Gardasil°). Aux États-Unis d'Amérique, en mai 2007, 1 763 notifications avaient été rapportées, dont 176 syncopes, une convulsion, un hématome sous-arachnoïdien et un hématome sous-dural, 13 syndromes de Guillain-Barré
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus 16,18 - Cervarix°. Cancer du col de l'utérus : 2e vaccin, sans plus
Rev Prescrire 2008 ; 28 (292) : 91
> Pdf, réservé aux abonnés
Gardasil° : pas une panacée, mais remboursable au prix fort
Rev Prescrire 2007 ; 27 (287) : 660
> Pdf, réservé aux abonnés
Vaccin papillomavirus 6, 11, 16, 18 - Gardasil°. Cancer du col : un espoir à confirmer
Rev Prescrire 2007 ; 27 (280) : 89-93
Les infections par certains papillomavirus sont un facteur de survenue de cancers, notamment du col de l'utérus. La vaccination diminue la survenue de ces infections, mais des inconnues demeurent. Son évaluation doit se poursuivre
> Pdf, réservé aux abonnés
Les papillomavirus humains : beaucoup de troubles bénins, quelques cancers
Rev Prescrire 2007 ; 27 (280) : 112-117
Des infections fréquentes, souvent asymptomatiques, latentes ou transitoires, à l'origine de troubles bénins, notamment des condylomes cutanés et anogénitaux, qui sont dus en général à des génotypes différents. Des cancers anogénitaux, par transformation maligne de lésions épithéliales, sont causés par certains génotypes de HPV à potentiel cancérogène élevé (surtout HPV-16 et HPV-18)
> Pdf, réservé aux abonnés
©Prescrire 26 novembre 2013