Dompéridone, métoclopramide et autres neuroleptiques à visée antiémétique : syndromes parkinsoniensLa dompéridone et le métoclopramide sont, avec l'alizapride et la métopimazine, des neuroleptiques utilisés comme antiémétiques (1à3). La dompéridone et la métopimazine ont une balance bénéfices-risques défavorable dans cette situation : elles exposent à des troubles du rythme cardiaque et des morts subi-tes, des effets indésirables disproportionnés par rapport aux symptômes traités et à leur faible efficacité (3).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 16€ par mois Abonnez-vous