La loi dite de sécurité du médicament adoptée en 2011 a instauré l'obligation pour les firmes d'obtenir un visa de l'Agence française du médicament (ANSM) avant de diffuser des publicités à l'intention du grand public pour des dispositifs médicaux de diagnostic in vitro « dont la défaillance est susceptible de causer un risque grave pour la santé » (1,2). Sont notamment concernés les dispositifs d'autodiagnostic, commercialisés pour être utilisés par les patients sans l'intervention d'un professionnel de santé (2)
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