Chez les patients atteints d'une maladie de Parkinson, l'apparition de fluctuations motrices incite à optimiser le traitement oral, notamment en modulant la dopathérapie et en y intégrant un inhibiteur de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) périphérique tel que l'entacapone, commercialisée seule (Comtan° ou autre) ou associée à doses fixes avec la lévodopa et la carbidopa (Stalevo° ou autre) (lire aussi "foslévodopa + foscarbidopa (Scyova°) en perfusion SC et maladie de Parkinson avec fluctuations motrices"). Quand cette optimisation ne suffit pas, une option est l'ajout d'apomorphine en injections sous-cutanées (SC) (Apokinon° ou autre) ou par voie sublinguale (Kynmobi°). Quand cela ne suffit toujours pas, les options de dernier recours sont l'apomorphine en perfusion SC au moyen d'une pompe ou un gel intestinal associant lévodopa + carbidopa (Duodopa°), via une sonde digestive reliée à une pompe spécifique (1à3)
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