Après une exposition au virus de la rougeole de certaines personnes non immunisées et à risque de forme grave, l'administration par perfusion intraveineuse d'immunoglobulines humaines polyvalentes est parfois justifiée. Administrées dans les 6 jours suivant le contact avec une personne atteinte de rougeole, elles diminuent le risque de survenue de la maladie (1). Leurs principaux effets indésirables connus sont des : réactions lors de la perfusion ; réactions d'hypersensibilité, dont des anaphylaxies ; méningites aseptiques ; thromboses ; insuffisances rénales aiguës ; anémies hémolytiques (2)
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