Chez les patients atteints d'un cancer de la prostate hormonosensible métastasé, le traitement de référence est une dépression androgénique par ablation des testicules ou agoniste de la gonadoréline. Dans des essais, l'ajout soit d'un antiandrogène tel que l'abiratérone ou l'apalutamide, soit de docétaxel (un cytotoxique) a allongé la durée médiane de survie des patients d'environ un à deux ans. Le choix entre un antiandrogène ou le docétaxel repose principalement sur leurs profils d'effets indésirables et leurs modalités d'administration (1à4)
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