Chez les adultes atteints de sclérose en plaques dite récurrente-rémittente (c'est-à-dire évoluant par poussées, espacées de périodes de rémission des symptômes plus ou moins complète et de durée plus ou moins longue), le diméthyle fumarate (à la posologie de 240 mg deux fois par jour, par voie orale) fait partie des traitements dits de fond qui n'ont pas une meilleure balance bénéfices-risques que l'interféron bêta (1à3). Son profil d'effets indésirables comporte principalement une immunodépression, et, surtout en début de traitement, des bouffées vasomotrices (y compris bouffées de chaleur) et des troubles digestifs (4)
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