Un effet incertain sur la survie, et des pneumopathies interstitielles parfois mortellesChez les patientes atteintes d'un cancer du sein non opérable ou métastasé avec surexpression de la protéine HER-2, après échecs de traitements comportant des anticorps anti-HER-2 tels que le trastuzumab puis la trastuzumab emtansine, la durée de survie est souvent inférieure à 2 ans. Diverses options sont parfois proposées malgré l'absence d'évaluation comparative en telle situation, notamment les associations : lapatinib (un inhibiteur de tyrosine kinases avec un effet anti-HER-2) + capécitabine (un cytotoxique) ; lapatinib + trastuzumab ; ou trastuzumab + capécitabine (1à3)
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