Chez les patients atteints d'un carcinome hépatocellulaire avancé ou inopérable, quand un médicament antitumoral est envisagé, le sorafénib (un inhibiteur de tyrosine kinases impliquées dans l'angiogenèse et la croissance tumorale) allonge d'environ 2,5 mois la durée médiane de survie des patients ayant une fonction hépatique préservée, au prix d'effets indésirables fréquents et parfois graves (1)
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