Chez les patients atteints d'un carcinome urothélial avec une extension régionale ou des métastases, une chimiothérapie à base d'un sel de platine est souvent proposée en première ligne. Après échec, le paclitaxel ou le docétaxel (des taxanes) sont des options de deuxième ligne. La vinflunine (un vinca-alcaloïde) est aussi autorisée dans cette situation malgré une balance bénéfices-risques défavorable (1à3)
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