Atézolizumab (TECENTRIQ°) et cancer bronchique métastasé ou inopérableChez les patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules, métastasé ou inopérable, le traitement de premier choix repose le plus souvent sur une chimiothérapie à base d'un sel de platine (1). Après échec ou rechute, le nivolumab, un immunostimulant dirigé contre le récepteur PCD-1 (programmed cell death-1, qui est un récepteur présent à la surface de certains lymphocytes T), est à préférer au docétaxel. Dans deux essais cliniques comparatifs, il a augmenté la durée médiane de survie d'environ 3 mois par rapport au docétaxel, tout en exposant à moins d'effets indésirables graves (1). Selon une comparaison indirecte, les effets du pembrolizumab (un autre immunostimulant anti-récepteur PCD-1) sont proches de ceux du nivolumab (2).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 16€ par mois Abonnez-vous
Avis sur les médicamentsPembrolizumab (KEYTRUDA°) en monothérapie et cancer bronchique métastasé ou inopérable