Pas de réduction de la mortalité ni totale ni cardiovasculaireChez les patients atteints de diabète de type 2, quand l'hémoglobine glyquée (HbA1c) reste trop élevée malgré une monothérapie par metformine, l'ajout d'un agoniste des récepteurs du GLP-1 (pour glucagon-like peptide-1 en anglais) par voie sous-cutanée tel que le liraglutide est une alternative à une insuline, surtout quand éviter la prise de poids ou les hypoglycémies est une priorité (1,2). Dans chacun un essai versus placebo chez des patients à haut risque cardiovasculaire avec une HbA1c en moyenne de 8,7 % à l'inclusion, le liraglutide a diminué la mortalité cardiovasculaire, et le sémaglutide (un agoniste des récepteurs du GLP-1) a semblé réduire le risque de complications cardiovasculaires. Mais, pour différentes raisons ces données sont de faible niveau de preuves (3,4)
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