La vie intime, affective et sexuelle est une liberté fondamentale et une dimension essentielle du bien-être humain. Son respect se heurte à des difficultés, notamment en établissements sociaux et médicosociaux, pour les personnes âgées, en situation de handicap ou les mineurs en foyer (1). Diverses associations se sont engagées pour faire reconnaître cette liberté en sensibilisant, par exemple, aux questions d'orientation sexuelle, d'identité de genre, de séropositivité au VIH ou pour la légalisation du recours aux assistants sexuels (2à4). En 2025, la Haute autorité de santé (HAS) française a publié des recommandations de pratiques professionnelles pour l'accompagnement de la vie intime, affective et sexuelle de ces personnes (1)
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