Le risque de méningiome lié à la prise de cyprotérone (Androcur° ou autre) est connu depuis les années 2000. Dans une étude, une exposition à ce progestatif a été associée à un risque de méningiome multiplié par 7 à 20 selon la dose cumulée, qui dépend notamment de la situation clinique (endométriose, hirsutisme, acné, traitement substitutif de la ménopause) (1,2). Les méningiomes provoquent parfois des effets neurologiques graves, et ne sont pas tous opérables (1,3)
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