Dès le début des années 2000, estimant que l'accès à une eau saine est un prérequis pour une bonne santé, le Conseil de la région de Stockholm s'est interrogé sur les risques que les résidus chimiques présents dans l'environnement, incluant les résidus de médicaments, pouvaient présenter via les réseaux d'eau potable. En 2003, le programme environnemental du Conseil de la région de Stockholm a commencé à répertorier et classer les médicaments d'abord selon leur danger intrinsèque, puis a ajouté, à partir de 2005, les risques qu'ils posent pour l'environnement (1à3)
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