En 2016, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) estimait que 200 millions de femmes dans le monde avaient subi des mutilations sexuelles telles qu'une excision ou une infibulation (1). En France, au milieu des années 2010, on dénombrait environ 125 000 femmes adultes qui en avaient été victimes (2). Depuis la loi du 29 juillet 2015, les filles mineures, à risque de ces mutilations en cas de retour dans leur pays d'origine, bénéficient du droit d'asile (3)
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