En France, le dispositif de déclaration des événements indésirables graves associés aux soins (EIGS) est opérationnel depuis mars 2017. Il comporte deux étapes, impliquant notamment les agences régionales de santé (ARS) puis la Haute autorité de santé (HAS) (a)(1). Le bilan réalisé par la HAS pour les années 2017 et 2018 avait montré la rareté des déclarations issues du secteur des soins de premier recours et un manque de soutien aux soignants pour le repérage, la déclaration et l'analyse des événements indésirables graves (2). La HAS a publié un nouveau bilan couvrant 2019, troisième année d'existence du dispositif (3)
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