En 2006, Prescrire appelait à la prudence à la suite de la transposition en France de la directive européenne de 2002 sur les compléments alimentaires : « les modalités d'"autorisation" de ces ingrédients laissent pour le moins perplexe (…). La Directive sur les compléments alimentaires a surtout été conçue pour ne pas entraver la libre circulation des marchandises dans l'Union européenne (…). Il en résulte une réglementation-passoire » (1)
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