Pour lutter contre le "mal mourir" et renforcer les droits et l'autonomie du patient en fin de vie, la loi française du 2 février 2016, dite loi Claeys-Leonetti, a autorisé, sous conditions, la mise en œuvre d'une sédation profonde et continue provoquant une altération de la conscience, maintenue jusqu'à la mort, associée à une antalgie et à l'arrêt de l'ensemble des traitements de maintien en vie (1,2). Début 2018, la Haute autorité de santé (HAS) a publié un guide qui donne un cadre d'organisation à la mise en œuvre de ce nouveau droit (2à5)
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