Depuis janvier 2017, en France, les firmes doivent disposer d'un plan de gestion pour faire face à l'éventuelle pénurie d'un médicament dit d'intérêt thérapeutique majeur, dont la rupture d'approvisionnement présenterait pour les patients « un risque grave et immédiat » (1,2). Entre autres mesures, il s'agit de prévoir d'autres sites de fabrication, ou d'identifier des spécialités susceptibles de constituer une alternative. Ne pas respecter cette obligation expose à une sanction financière (1,2)
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