Le suicide est un acte au déterminisme complexe : « plusieurs facteurs de risque sont maintenant identifiés (…) : des facteurs socio-environnementaux, psychopathologiques, génétiques et biologiques, qui interagissent entre eux de façon variable » (1). Des échelles de risques suicidaires ont été constituées afin de permettre des stratégies de prévention ou d'améliorer les interventions (1,2). Toutefois, « si certains suicides sont prévisibles et évitables, notamment en phase aiguë, d'autres sont imprévisibles et inévitables, voire prévisibles et inévitables » (1). En pratique en 2016, les méthodes visant à prévoir un risque de suicide sont décevantes et encore en développement (2)
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