Les effets indésirables infectieux graves des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont connus de longue date (1). Une étude attire l'attention sur les cas graves d'infection invasive streptococcique notifiés en France aux centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) de 2019 à mi-2023 (2,3)
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