En traitement médicamenteux d'une hyperprolactinémie, les données disponibles en 2021 incitaient à choisir par prudence le quinagolide, un agoniste dopaminergique non dérivé de l'ergot de seigle. En effet, la cabergoline, un dérivé de l'ergot de seigle, expose notamment à des atteintes valvulaires cardiaques, y compris aux faibles doses utilisées dans cette situation (1,2)
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