Courant 2024, une équipe de Montpellier a publié une analyse des notifications de cholangites imputées aux immunostimulants inhibiteurs de point de contrôle immunitaire anti-PD-1 ou anti-PD-L1, à partir de la base de données française de pharmacovigilance (1). Les cholangites infectieuses ou auto-immunes préexistantes ont été écartées de cette analyse. En voici les principaux résultats
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