Les progestatifs exposent à l'apparition de méningiomes et à l'augmentation de leur volume. Des études in vitro ont suggéré que les deux tiers des méningiomes environ expriment des récepteurs à la progestérone et aux androgènes et que 10 % environ expriment des récepteurs aux estrogènes. Ces tumeurs intracrâniennes, bien que généralement bénignes, ont des conséquences cliniques liées à leur volume, par compression des tissus cérébraux adjacents, justifiant parfois une intervention chirurgicale (1à3)
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