En 2022, une étude a porté sur le risque d'atteintes cutanées graves telles que des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson, chez des patients traités depuis peu par allopurinol (Zyloric° ou autre). Elle s'est basée sur des données hospitalières et de prescription canadiennes de la province de l'Ontario, sur la période 2008-2019 (1). Environ 47 000 patients avec une première prescription d'allopurinol ont été inclus, tous âgés de plus de 65 ans et insuffisants rénaux chroniques (débit de filtration glomérulaire estimé inférieur à 60 ml/min par 1,73 m2), mais ni dialysés ni greffés
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