Les progestatifs chlormadinone et nomégestrol sont des dérivés synthétiques de la progestérone. Ils sont autorisés en France dans diverses situations gynécologiques (1). Comme d'autres, ces progestatifs exposent à des méningiomes intracrâniens, des tumeurs le plus souvent bénignes, mais qui peuvent être à l'origine, entre autres, de maux de tête, de troubles de la vision et de crises d'épilepsie, justifiant parfois une intervention chirurgicale
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