Une équipe canadienne a étudié l'incidence des événements immunoallergiques graves, syndromes de Stevens-Johnson ou de Lyell ou aplasies médullaires, chez des patients exposés à un inhibiteur de l'anhydrase carbonique. Ils ont comparé ces incidences selon que le médicament était utilisé sous forme de collyre ou pris par voie orale (1)
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