En 2020, les centres régionaux de pharmacovigilance d'Angers et de Nantes ont rapporté l'observation d'un enfant âgé de 8 ans, hospitalisé après avoir reçu pendant quelques jours un traitement par métopimazine (Vogalib°), à raison de 7,5 mg 2 fois par jour, et diosmectite (Smecta°) pour une gastroentérite. L'enfant a été hospitalisé pour une rétention urinaire aiguë, sans autre trouble associé. Après l'arrêt de la métopimazine, la rétention urinaire a régressé. Une échographie réalisée 4 jours plus tard n'a pas montré de résidu vésical postmictionnel (1)
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