En 2018, nous avons rapporté des données qui ont montré une surmortalité chez les adultes traités par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), notamment en cas de durée de traitement supérieure à un mois (1). Plusieurs abonnés nous ont depuis interrogés sur la balance bénéfices-risques des IPP en traitement prolongé chez les enfants dans diverses situations, souvent en dehors de celles de l'autorisation de mise sur le marché (AMM)
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