Protoxyde d'azote récréatif : myéloneuropathies En novembre 2019, les centres français d'addictovigilance ont attiré l'attention sur des complications neurologiques liées à l'utilisation récréative du protoxyde d'azote, alias gaz hilarant. Huit cas d'atteinte neurologique grave liée à cette utilisation ont été signalés dans la région des Hauts-de-France entre janvier et novembre 2019 (1).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 16€ par mois Abonnez-vous