Des erreurs dangereuses sont susceptibles de se produire à tous les stades du soin médicamenteux : prescription, approvisionnement, stockage, dispensation, préparation des doses, administration, suivi thérapeutique. Souvent, divers facteurs y contribuent. Dans ce numéro, quatre exemples de situations particulièrement à risque d'erreurs : des boîtes contenant un nombre d'unités inadapté à la posologie usuelle (lire aussi "Vitamine K1 et nouveau-nés : conditionnement amélioré en ville, mais encore des point faibles"). La similitude de conditionnements de deux dosages d'une même substance, ou de noms de médicaments (lire aussi "Hydroxycarbamide 100 mg et 1 000 mg (Siklos°) : gare aux confusions", et "Lamotrigine : prévenir les effets indésirables cutanés graves"). La coexistence de deux modes d'expression de la concentration d'un cytotoxique (lire aussi "Irinotécan liposomal (Onivyde°) et changement d'expression de la concentration : risques d'erreur")
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