En 2017, le Centre de pharmacovigilance d'Uppsala a analysé des notifications de prise de poids imputées à des antihistaminiques H1 dits non sédatifs et non atropiniques, enregistrées dans la base de données de pharmacovigilance de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) (1). Parmi ces notifications, 44 étaient imputées à la desloratadine (Aerius° ou autre) et 115 à la loratadine (Clarityne° ou autre). Une vingtaine concernaient des enfants âgés de moins de 12 ans exposés pour moitié à la desloratadine et l'autre moitié à la loratadine
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