La remarque d'Adeline Foltzer nous donne l'occasion de revenir sur l'évaluation des traitements des infections anorectales par Chlamydia trachomatis non liées à une lymphogranulomatose vénérienne (a). Dans les infections urogénitales par C. trachomatis, depuis les années 1990, l'azithromycine (un macrolide) était en général l'antibiotique de premier choix. Son administration par voie orale en une seule prise de 1 g en raison de sa longue demi-vie d'élimination réduit les risques de prise incomplète du traitement. La doxycycline (une cycline) à raison de 100 mg deux fois par jour pendant 7 jours, par voie orale, était une autre option. L'efficacité de ces stratégies thérapeutiques était du même ordre selon des essais randomisés (1,2)
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