La matinée a été intense. Il y avait la patiente fébrile, le patient qui ne voulait pas se lever, celui qui n'avait pas faim, celle qui voulait rentrer chez elle, celui qui n'avait plus de cigarettes, celle qui pleurait, celui qui ne parlait pas… Et les autres. Tous les autres. On a fait comme on a pu. Pour celle qui était malade, pour celui qui n'avait pas faim, pour celle qui pleurait…
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