Pour répondre aux interpellations de Martine Lalande concernant le texte intitulé "Des cailloux dans le désert" (lire ou relire dans le n° 485, p. 234-235), je dirais d'abord que je la remercie et que je suis globalement d'accord avec ses remarques, n'ayant sans doute pas été tout à fait clair dans mon texte précédent, par souci de concision
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