Chez les enfants victimes d'arrêt cardiorespiratoire, l'association massage cardiaque externe par compressions thoraciques et insufflations semble doubler les chances de survie sans séquelle neurologique par rapport à l'absence de geste de survie. Et dans une moindre mesure, cette association semble aussi augmenter les chances de survie par rapport au massage cardiaque externe seul (1)
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